Le spécialiste américain Splunk vient de publier un rapport « RSSI » dans lequel il tire un bilan lié aux différentes préoccupations des professionnels de la cybersécurité, et plus particulièrement à l’accueil réservé à ChatGPT et consorts.
Ce rapport fait état qu’un climat plutôt contrasté aux dires des personnes interrogées :
- 70 % estiment que l’intelligence artificielle favorise les attaquants plutôt que les défenseurs.
- 35 % disent l’avoir déjà expérimentée pour renforcer la cybersécurité notamment pour analyser les logiciels malveillants, automatiser les flux de travail et évaluer les risques.
- 93 % ont déjà automatisé leurs processus à un degré modéré ou avancé sans l’IA (cette dernière devrait accroître ce pourcentage à l’avenir)
- 86 % estiment que l’IA générative va réduire les déficits de compétences et les pénuries de talents au sein de leur équipe de sécurité en remplissant les fonctions de sécurité chronophages et manuelles.